Beethoven – Kabalvesky & Liszt – Kim Brewer – CR4426
£9.99 – £15.99
Description
Beethoven’s last and greatest sonata for the piano provides the listener with the perfect argument for a two movement work.
The first movement, with its commanding Maestoso introduction, is both turbulent and passionate, symbolic of the human spirit’s power and volatility.
The second movement, Arietta, has a sublime, compassionate, and heavenly theme which seems to emerge from the angst of the Allegro Con Brio and the dynamic conflicts of the mortal world to pour forth sweetness and harmonisation with the natural Universe. These are not unlike the themes employed by Shakespeare in his final play, The Tempest.
Indeed, the unity of this sonata is dependent upon both its philosophical and spiritual content. The two movements are in dynamic, yet vital opposition. The first movement is in C minor, the Arietta, C major. Minor versus major, earthly versus universal. The first movement displays Beethoven’s command of fugal writing; the second movement shows the keen interest Beethoven had in four part vocal composition in his later years. (He had been studying the works of Palestrina).
The Arietta is intimate in style, (almost chamber music) and enabled Beethoven to communicate simplicity and extreme subtlety. This makes enormous musical and intellectual, demands on the solo performer. The theme of the Arietta is transfigured by what is arguably Beethoven’s finest set of variations, with its halo of trills, possibly symbolising the soul’s release into eternal light.
In the public’s mind, Dmitri Kabalevsky is mainly associated with smaller-scale piano pieces for young players. However, his three sonatas for piano are in a mature style, exploiting the virtuoso and tonal resources of the instrument, as well as displaying true compositional craftsmanship.
Sonata No.2 was dedicated to the Russian pianist, Emil Gilels. Sonata No.3 was written in 1946 for the American pianist Vladimir Horowitz. Horowitz went on to give the first public performance of this work in February 1948. Sonata No.3, in similar vein to its predecessor, celebrates the Russian people’s salvation from World War II and mirrors their spirit and passion. Like much of Kabalevsky’s work, the musical style of this sonata is eclectic. Highly contrasted thematic material is to be found in the quizzical first movement, the martial and virtuoso last movement and in the valse-triste styled slow movement.
Liszt’s Bacchic virtuoso masterpiece is a favourite with pianist and audience alike, and must be considered one of the finest examples of its type. Liszt used an entire armoury of virtuosic devices in order to feed the demonic side of his creative imagination. In this work, he portrays Faust and Mephisto entering the village pub, in search of love. Mephisto plays the violin, and Faust abandons himself to drink, dancing, and lovemaking. Perhaps the quiet interlude near the piece’s conclusion is when lovers disappear into the woods, and only the birds of the night can be heard singing! As the critic of the Boston Gazette concluded, after hearing the piece for the first time, “It has about as much propriety on a programme after Schumann and Handel, as a wild boar would have in a drawing room”.
Kim Brewer has studied with many of the worlds leading concert pianists and scholars, in both Europe and North America and has received critical acclaim. His earliest studies were with the celebrated Bach specialist, Maurice Cole. After winning scholarships to both the Royal College, and the* Royal Academy of music. He was taught at the Royal College of Music by Angus Morrison. Study in the United States continued for five years with Gary Graffman, head of Curtis Institute, Philadelphia. During this time, Kim Brewer was praised by the New York Times for his debut recital at the Lincoln Center. Whilst in the United States Kim Brewer also studied with the concert virtuoso, Earl Wild. In recent years, Kim Brewer has worked closely with Kendall Taylor CBE – Vice President of the Royal College of Music in London and eminent Beethoven scholar.
French: La dernière et la plus fameuse sonate pour piano de Beethoven offre à l’auditeur, avec le plus parfait des arguments, une oeuvre en deux mouvements.
Le premier mouvement, avec son introduction imposante Maestoso, est à la fois turbulent et passionné, symbolique du pouvoir de l’esprit humain et de son caractère versatile.
Le second mouvement, Arietta, est un thème sublime, empli de compassion et céleste, qui semble émerger de l’anxiété de l’Allegro Con Brio; c’est-à-dire, des conflits dynamiques du monde des mortels, et déverse avec vigueur la douceur et l’harmonisation avec l’Univers naturel qu’est l’Arietta; un peu à la manière des thèmes développés par Shakespeare dans sa pièce de théâtre La Tempête.
En effet, l’unité de cette sonate est principalememt dépendante de son contenu philosophique et spirituel. Les deux mouvements sont en dynamique bien qu’en rigoureuse opposition. Le premier mouvement est en C mineur, l’Arietta, en C majeur. Mineur contre majeur, le terrestre contre l’universel. Le premier mouvement expose la maîtrise de Beethoven dans l’art décrire une fugue. Le second mouvement montre le vif intérêt qu’vait Beethoven, dans ses dernières années, pour les compositions en quatre parties vocales (il étudiait alors les oeuvres de Palestrina).
Par son style intime (c’est presqu’une musique de chambre),L’ Arietta permit à Beethoven de communiquer simplicité et extrême subtilité. Cela requiert d’énormes exigences musicales et intellectuelles de la part de l’exécutant du solo. Il faut également rappeler à l’auditeur que L’Arietta offre ce qui est indiscutablement l’une des plus remarquables séries de variations de Beethoven; le thème de L’Arietta étant transfiguré en une série distincte de variations; celui du final, avec son auréole de trilles, pouvant symboliser la délivrance des âmes dans la lumière éternelle.
Dans l’esprit du public, le nom de Dmitri Kabalevski est principalement associé à des morceaux de petite importance, des gammes pour piano pour de jeunes musiciens. Cependant, ses trois sonates pour piano ont un style d’une maturité confirmée, exploitant la virtuosité et les ressources tonales de l’instrument tout en manifestant une véritable habileté dans l’art de la composition.
La sonate n 2 fut dédicacée au pianiste russe Emil Gilels. La sonate n3 fut écrite en 1946 pour le pianiste américain Vladimir Horowitz. Horowitz entra en scène pour donner la première exécution publique de cette oeuvre en Février 1948. Dans le même esprit que ses prédécesseurs, la sonate n3 célèbre le salut du peuple russe à partir de la Deuxième Guerre Mondiale et reflète leur esprit et passion. Comme la plupart des oeuvres de Kabalevsky, le style musical de cette sonate est éclectique. Le contenu thématique fortement contrasté est à rechercher dans le premier mouvement et la myriade de questions qu’il soulève, dans le dernier mouvement, martial et virtuose, ainsi que dans le lent mouvement dont le style rappelle la valse-triste.
Le Bacchus de Liszt, chef d’oeuvre de virtuosité, est le morceau de prédilection des pianistes comme de l’auditoire et doit être considéré comme l’un des plus remarquables exemples de ce type.
Liszt déploya tout un arsenal de stratagèmes de virtuosité afin de nourrir le coté démoniaque de son imagination créative. Dans cette oeuvre, il dépeint Faust et Mephisto entrant dans le café d’un village à la recherche d’amour. Il est propable que le paisible interlude, proche du morceau final, évoque la disparition des amants dans les bois; alors, seul le chant des oiseaux de la nuit est à même d’être entendu! Comme le conclut le critique de la gazette de Boston, après avoir entendu pour la première fois le morceau: ”Ce dernier a presqu’ autant d’a- propos dans un programme suivant Schumann et Handel que le pourrait avoir un sanglier dans un salon.”
Kim Brewer a fait ses études avec plusieurs des pianistes et érudits qui comptent parmi les plus illustres dans le monde, à la fois en Europe et en Amérique du Nord. Ses premières études ont été effectuées sous la direction du célèbre spécialiste de Bach, Maurice Cole. Après avoir gagné une bourse d’études à la lois pour le Royal College et le Royal Academy of music, il a suivi l’enseignement d’Angus Morrison et de Kendall Taylor au Royal College of music. Il a ensuite poursuivi ses études aux états Unis pendant cinq ans sous la direction de Gary Graffman, directeur de Curtis Institute à Philadelphie. Il a alors reçu les éloges du New York Times pour son premier récital au Lincoln Center. Pendant son séjour aux Etats Unis, Kim Brewer a également reçu des instructions du virtuose du piano, Earl Wild. Récemment, Kim Brewer a travaillé en collaboration avec Kendall Taylor, vice président du Royal College of music à Londres et éminent érudit de Beethoven.
Ou qu’il ait joué, Kim a toujours reçu les acclamations des critiques, en Angleterre comme à l’ étranger.
German: Beethovens letzte und bedeutendste Klaviersonate ist ein typisches Beispiel für ein Werk in zwei Sätzen.
Der erste Satz mit seiner dominierenden Maestro Einleitung ist gleichermaßen turbulent wie auch leidenschaftlich, symbolisch für die menschliche Geisteskraft und die Impulsivität.
Der zweite Satz, Arietta ein vollendetes, mitfühlendes und göttliches Thema, welches aus der Angst des Allegro Con Brio hervorzugehen scheint. Aus den dynamischen Konflikten der sterblichen Welt strömt die Süße und die Harmonisierung mit dem natürlichen Universum, welches die Arietta ist. Es gleicht den Themen, die von Shakespeare in seinem letzten Drama, The Tempest, verwendet wurden.
In der Tat hängt die Einheit dieser Sonate in erster Linie von ihrem philosophischen und spirituellen Inhalt ab. Die beiden Sätze befinden sich in einem dynamischen, ja sogar vitalen Gegensatz. Der erste Satz steht in C-Moll, die Arietta in C-Dur: Moll im Gegensatz zu Dur; irdisch im Gegensatz zu universell. Der erste Satz zeigt Beethovens Stärke im Fugenschreiben.
Der zweite Satz zeigt das wache Interesse Beethovens an vierteiligen Vokalkompositionen, das er in seinen letzten Jahren hatte. (Er hatte die Werke Palestrinas studiert.)
Die Arietta ist vertraulich im Stil (nahezu Kammermusik) und ermöglicht Beethoven, Einfachheit und Subtilität zu vermitteln. Dies verlangt vom Solisten eine stark ausgebildete Musikalität und einen scharfen Intellekt. Der Hörer sollte auch daran erinnert werden, daß die Arietta mit Sicherheit Beethovens feinster Variationssatz ist: Das Arietta Thema wird in eine klar erkennbare Variationsreihe verwandelt. Die letzte Variation ist umrahmt von Trillern, was vielleicht die Seele symbolisiert, die in das ewige Licht freigesetzt wird.
In der öffentlichen Meinung wird Dmitri Kabalevsky hauptsächlich mit unbedeutenden Klavierstücken für junge Spieler assoziiert. Dennoch haben seine drei Sonaten einen ausgereiften Stil und bedienen sich der virtuosen und klanglichen Mittel des Instruments vollständig, wie sie auch wahre Kompositionskunst vorführen.
Sonate Nr. 2 wurde dem russischen Pianisten Emil Gilels gewidmet. Sonate Nr. 3 wurde 1946 für den amerikanischen Pianisten Vladimir Horowitz geschrieben. Horowitz führte sie im Februar 1948 zum ersten Mal auf. Sonate Nr. 3, ähnlich wie ihr Vorläufer, feiert die Erlösung des russischen Volkes vom 2. Weltkrieg und spiegelt seinen Geist und Leidenschaft wider. Wie in vielen Werken Kabalevskys, ist der musikalische Stil dieser Sonate eklektisch. Im rätselhaften ersten Satz findet man stark kontrastiven Themenstoff, der letzte Satz ist kriegerisch und virtuos, und die langsame Bewegung ist im Stil eines valse triste, (“traurigen Walzers”).
Liszts virtuoses Meisterwerk, Bacchic, ist ein Lieblingstück gleichermaßen für den Pianisten wie auch für das Publikum und muß als eines der feinsten dieses Typus betrachtet werden. Liszt bediente sich aller Werkzeuge virtuoser Kunstgriffe, um die dämonische Seite seiner schöpferischen Vorstellungskraft damit zu füttern. In diesem Werk porträtiert er Faust und Mephisto beim Hineingehen in eine Dorfkneipe, auf der Suche nach Liebe. Mephisto spielt Geige und Faust verliert sich im Alkohol, im Tanzen und sexueller Liebe. Vielleicht verschwindet das Liebespaar während des stillen Zwischenstücks fast am Ende des Stückes im Wald, wenn man nur die Nachtvögel singen hören kann! Die Kritik der Boston Gazette schließt nach dem ersten Hören des Stückes folgendermaßen: “Nach Schumann und Händel ist es genauso unangemessen auf dem Programm wie ein Wildschwein es in einem Zeichenraum wärew.
Kim Brewer hat sich mit vielen führenden Konzertpianisten der Welt und deren Schülern beschäftigt, sowohl in Europa als auch in Nordamerika. Seine frühesten Studien hat er mit dem gefeierten ‘ Bachspezialisten, Maurice Cole, durchgeführt. Nach erworbenen Stipendien, sowohl für das “Royal College” wie auch die “Royal Academy of music” wurde er am “Royal College of music” von Angus Morrisson und Kendall Taylor unterrichtet. In den Vereinigten Saaten führte er seine Studien fünf Jahre lang mit Gary Graffman, dem Leiter des “Curtis Institute” in Philadelphia fort. Während dieser Zeit wurde Kim Brewer von der New York Times für sein Debütkonzert im Lincoln Center gelobt. Während seiner Zeit in den Vereinigten Staaten ist Kim Brewer auch von dem Konzertvirtuosen Earl Wild unterrichtet worden. In den letzten Jahren hat Kim Brewer eng mit Kendall Taylor CBE, dem Vizepräsidenten des Royal College of Music in London und bedeutenden Beethoven-Forschers, zusammengearbeitet. Wo auch immer Kim Brewer gespielt hat, hat er stets Beifall geerntet, sowohl im Inland als auch im Ausland.
Japanese:
ベーI-一ヴェンによる最後の、そして最も偉大なこのソナタは2つの楽章
から成り立っており、2つの明確な主題を備えている。
第1楽章は堂々としたマエストーソの序章で始まり、人間の精神力を象徴
するように荒々しく熱情的で、しかも激しく揺れ動く。
第2楽章のアリエッ夕は隶高、あわれみ、神々しさをテーマにしており、
その主題はアレグロ•コン•プリ才の苦悩から生み出されたように聞こえる。
言わば、死を免れない人間の絶えぬ葛藤のあと、優しさと自然界(アリエッ夕)
との調和に至り、それがとうとうと語られるかのように。シェークスピアが
最後の戯曲である「テンペストJに用いたテーマと似ていなくもない。
確かに、このソナタが作品として統一しているのは、ひとえに哲学的で
精神的な内容のためである。2つの楽章は共にダイナミックだが、決定的に
対立している。第1楽章はハ短調だが、アリエッ夕はハ長調である。短調に
対する長調は、現世に対する万有にほかならない。第1楽章には、フーガの
作曲におけるペー卜ヴェンの卓抜な能力がはっきリ示されている。
第2楽章はベー卜一ヴェンが晩年に4部声楽曲の作曲に強い関心を抱いて
いたことを窺わせている(彼は長くパレス卜リーナ=16世紀後半のイタリア
の歌曲作曲家==を研究していた)。アリエッタは形式にこだわっていず(ほと
んど室内楽に近く)、それによってベートーヴェンは純真さと、微妙さの
極致を表現できた。このため、この楽章をピアノだけで表現するには、
とてつもない音楽性と知性が要求される。このアリエッ夕は、あえて言えば
ペー卜一ヴェンによる変奏曲の秀れた組曲であり、この曲を聴くに当たっては
この点に留意したい。アリエッタの主題は紛れもなく、ひと組みの変奏曲に
形を変えている。最後の部分は卜リルが光の輪を描き、解放された魂が永遠の
光に昇華していくのを象徴するかのようである。
ドミトリー•カバレフスキーは、一般には若い人達のためのピアノ小品の
作曲家として知られている。しかし、3つのソナタは円熟したスタイルで
書かれ、ピアノの名人芸的な技巧と音の可能性が駆使されており、作曲上の
技術がここに見事に結晶している。
ソナタ第2番はロシアのピアニス卜、エミール•ギレリスに捧げられており、
ソナタ第3番はウラジミール•ホロヴィッツに捧げられた。ホロヴィッツは
1948年2月にこの曲を初演した。ソナタ第3番は第1番、第2番に似た
傾向の作品で、第2次世界大戦の終焉によって救われたロシア国民を祝福し、
ロシア人の精神と情熱が描き出されている。カバレフスキーの多くの作品と
同じように、この曲の音楽的なスタイルは折衷主義である。いたずらっぽい
感じの第1楽章、勇ましくかつ名人芸的な技巧を要求する最終楽章、そして
ヴァルス•卜リス卜(悲しいワルツ)風の第2楽章には、いずれも著しい対照
を示すテーマが織り込まれている。
リス卜のバキック(バッコスを祝う曲)は演奏家にも聴衆にも親しまれてい
る巨匠の傑作であり、この種の作品では最も秀れた曲のひとつとして位置づけ
えられる。リス卜は自分の独創的な想像力の悪魔的な部分を強調するために、
名人的な技巧を駆使している。この作品では、ファウス卜とメフィス卜が愛を
求めて村の居酒屋に入る場面が描かれている。メフィス卜はヴァイ才リンを
弾き、ファウス卜は酒に酔いしれ、踊り、恋にうつつを抜かす。曲の終りに
近い静かな間奏曲はおそらくこんな情景を表わしているのだろう一恋人達が森
に消えるが、ただ聞こえるのは夜の鳥のさえずりだけ。この曲を初めて聴いた
ボストン•ガゼット紙の批評はこう結んでいる。「シューマンとヘンデルの
後にくるプログラムとしてなんともふさわしいのではないか、イノシシが客間
にいるような感じだからJ。